Koninklijk Museum van het Leger en de Krijgsgeschiedenis (Legermuseum)

Musée Royal de l'Armée et d'Histoire Militaire (MRA) - Cinquantenaire

 
 

 

 
 

8 mars 2017 - Cinquantenaire: les canons près de l'entrée du Musée de l'Armée ont été retirés (Rtbf)

 
 

30 mars 2017 - PROCES-VERBAL de la RBC avec pour objet :   "Constatation (modification de l’aspect du site classé par l’enlèvement de deux canons devant l’entrée du Musée Royal de l’Armée et d’Histoire Militaire)"

 
 

5 octobre 2017 - RETOUR DES CANONS de l'entrée du musée de l'armée

 
     
  Droit de réponse du 7 octobre 2017 à l'article Les canons du Musée de l'Armée ne seront jamais "flamandisés" publié par Mr Christian Laporte dans La Libre le 5 octobre 2017  
     
  N'êtes vous pas bien naïf, Mr Laporte, de croire ce que l'on vous raconte ?

Ne prenez-vous pas ce que l'on vous donne sans faire votre travail de journaliste, le recoupement de l'information ?

Les canons sont partis en catimini début mars 2017. Ils ne sont pas partis pour être restaurés mais pour être affichés comme trophées à Brasschaat le we du 22-23 avril ...

Un procès-verbal a été rédigé le 30 mars 2017 par la Région Bruxelles-Capitale avec comme objet : constatation - modification de l’aspect du site classé par l’enlèvement de deux canons devant l’entrée du Musée Royal de l’Armée et d’Histoire Militaire.

Et votre histoire des 100 ans, c'est gentil mais à l'époque - en 1988 - on avait l'intelligence de ne prendre que les roues, les canons restant sur leurs chandelles ...
 


Si il avait réellement été question de départ pour restauration, pourquoi ne pas avoir fait comme l'a fait le colonel Brabant (responsable des collections d'artillerie) en envoyant en 1988 les roues à Rocourt plutôt que de la faire de la gabegie avec un convoi militaire exceptionnel venu de Bastogne pour amener les canons à Brasschaat ?

Quel est le coût global de cette mascarade ?

Ces pièces ne devaient pas partir.

La vraie raison du départ est le transfert des canons pour le GUNFIRE de Jan Jambon (une bonne cinquantaine de pièces d'artillerie sont déjà parties du MRA pour Brasschaat - c'est le général Oger Pochet qui en a été l'exécutant avant le WHI).

Cette histoire de faire revenir les canons, c'est l'arbre qui cache la forêt.

La vraie raison, c'est le garnement qui s'est fait taper sur les doigts après avoir fait une grosse bêtise.

Car là est la réalité Mr Laporte, le directeur a.i. Jaupart a maladroitement tenté ce 5 octobre de récupérer l'affaire. Mais personne n'est dupe, sauf vous.

Le comité Tervueren-Montgomery

 
     
 

Quelques photographies