LE  SON DU BRAME DU 747

 
 

 

 
 

COMITE TERVUEREN-MONTGOMERY

 
     
     
   
 

Défi s’empare d’une élue MR à Crainhem

http://www.lalibre.be/actu/politique-belge/defi-s-empare-d-une-elue-mr-a-crainhem-59a7db1fcd706e263fb3e2e5#.WagnFZ3_hOE.email

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De : Libotte Jean-Luc <jean-luc.libotte@skynet.be>
Date : 4 septembre 2017 à 07:35
Objet : J'aime le son du brame du 747, le soir au fond de mon lit, (d'après Alfred de VIGNY ( 1797- 1863)
 
J’aime le son du brame du 747, le soir, au fond de mon lit,
Soit qu’il gronde aux lueurs de l’aube, qu’il chante les pleurs affligés de la biche aux abois, tout le jour, sous le survol incessant des corbeaux maléfiques, croassant.
Ou l’écho du chasseur que l’écho puissant accueille et que le vent de l’ouest porte de logis en logis, sur la ville et ses habitants ...
 
Texte à l’adresse de Monsieur le Ministre fédéral François BELLOT (MR), ingénieur (?), moqueur, coureur de cocktails.
 
Très librement inspiré d’Alfred de VIGNY, auteur français (1797-1863) in “Le Son du Cor”...
A Bruxelles, le 4 septembre 2017, sous le virage serré à gauche.

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De : Ghislaine Weissgerber <gweissgerber@yahoo.com>

Envoyé le : Dimanche 3 septembre 2017 19h24
Objet : Honte sur vous, Monsieur Bellot
 
Monsieur le Ministre,
 
En comparant les nuisances des avions au brame du cerf, vous avouez - publiquement de surcroît - votre mépris pour la cause. D'autant que les zones survolées ne sont pas seulement victimes du bruit mais aussi de la pollution et du risque d'un crash.
 
Vous êtes responsable de ce dossier et le seul en mesure d'en changer la donne.  Au lieu de cela, vous nous avez bernés avec vos interventions lénifiantes de début de mandat : de la poudre aux yeux pour  'tenir' jusqu'aux prochaines élections Cette attitude est pitoyable, autant de votre part que de celle de votre parti.  Votre jeu est indigne et dangereux :  votre servilité à l'extrême droite flamande ne fait que renforcer le dégoût que les citoyens ont pour la politique. 
 
En attendant, Monsieur le Ministre, qu'un jour vous ayez honte de votre indifférence, le jour peut-être où vous passerez de vie à trépas, où vous serez seul face à vous-même, je vous souhaite des jours paisibles à l'orée de votre forêt. 

Ghislaine Weissgerber