La deuxième réunion de
concertation
prévue le 16
décembre a
été reportée
sine die. La
raison
invoquée au
cabinet du
ministre de
tutelle :
les mesures
sanitaires
liées au
Covid-19. La
précédente
rencontre
avait eu
lieu le 30
septembre,
en plein
Covid aussi.
L’administration
laisse
traîner le
dossier.
Pendant ce
temps, la
facture pour
non-respect
des
décisions
judiciaires
est
importante :
plus de 17,5
millions
d’euros ont
déjà été
payés pour
des
astreintes
ou des
dommages.
Les
critiques
sont dures,
à la mesure
des
frustrations
des victimes
des
nuisances
sonores de
l’activité
de Brussels
Airport.
Plusieurs
interlocuteurs
se demandent
si le
ministre
Georges
Gilkinet (Ecolo)
ne joue pas
la montre
dans le
dossier.
A la
surprise
générale,
les travaux
du fameux
organe de
concertation
entre toutes
les parties
ont été
interrompus
et reportés
sine die.
Ils étaient
prévus le 16
décembre et
selon
certaines
sources, sa
non-organisation
résulterait
du Covid-19.
La
précédente a
eu lieu le
30
septembre,
en plein
Covid aussi…
Beaucoup
d’observateurs
sont allés à
la première
réunion sans
conviction,
avec des
pieds de
plomb, un
grand bazar
inutile qui
n’apportera
aucune
solution
réelle, et
qui
ressemble à
une
procession
d’Echternach.
Cela fait
maintenant
15 mois que
le ministre
Georges
Gilkinet (Ecolo)
est aux
manettes de
la Mobilité
fédérale, en
charge
notamment du
dossier du
survol de
Bruxelles
par les
avions de
Brussels
Airport,
mais rien ne
bouge. On
l’a vu et
entendu sur
plein de
dossiers en
tant que
Vice-Premier
ministre
Ecolo. On
l’a écouté
brûlé la
politesse
pour
annoncer des
décisions
des
décisions du
Codeco
(Comité de
concertation).
On l’entend
beaucoup sur
le transport
ferroviaire,
mais c’est
pratiquement
silence
radio sur
l’aérien et
le transport
routier.